L'école d'arts martiaux qui agrège et synthétise différentes disciplines : self défense, ju-jitsu, kobudo, arts martiaux mixes... "une parenthèse martiale" dans un site unique à bordeaux : une voie interne et externe à explorer à travers l'enseignement d'un véritable budo !
L'école d'arts martiaux qui agrège et synthétise différentes disciplines : self défense, ju-jitsu, kobudo, arts martiaux mixes...

Présentation de l'école

Introduction

Association loi 1901 ayant pour but de promouvoir les arts martiaux de tous types et de permettre des passerelles entre les différents styles pour faire des pratiquants complets et aguerris. Elle est basée 9 allée de Sallegourde à Villenave d'Ornon.

Elle est née d'une volonté de son fondateur, Hubert MAILLARD de la MORANDAIS, ancien sportif de haut niveau (classé -2/6 soit dans les 200 premiers tennismen français), puis pratiquant d'arts martiaux depuis plus de 25 ans, tour à tour élève et assistant dans de nombreuses disciplines en judo et ju-jitsu (ceinture noire 1er dan), karaté (ceinture noire 2ème dan), aïkido, boxe française, et pour finir yoseikan budo (avec senseï Jean François DEMOULIN cf son site http://www.arts-martiaux-demoulin.com/), dont il a reçu la plus grande inspiration et qui a su éclairer son chemin au bon moment pour trouver sa propre voie (Jean François Demoulin lui ayant montré le lien intangible entre ces diverses disciplines pratiquées précédemment). Né en 1964, courtier d'assurances et gestionnaire de patrimoine, il foule les tatamis de manière assidue depuis 1986 et a entre autres acquis le titre de vice champion de France de Karaté Jistu en 2006 et a fait également 3ième aux éditions 2003 et 2004 avec son binôme Bertrand Hyronimus. Il est également praticien en PNL et Neuro-Sémantique à l'institut de Bègles, ce qui lui a permis d'étudier la corrélation entre les mécanismes singuliers du cerveau et nos comportements.

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Suite à sa participation dans de nombreux stages d'arts internes (tai-chi, Gi-Gong) ou externes (voir ci-dessus) de styles aussi divers que variés (parmi les stages les plus récents : krav maga, combat russe avec Vladimir khoudenkikh et Fabrice Fourment, karaté avec maître Jacques Tapol, maître Hino Akira http://www.leotamaki.com/article-36952391.html, aikido avec maître Léo Tamaki, initiation au Jeet Kun Do et Kali, MMA avec Fabricio Werdum, 

et bien sûr de nombreuses participations aux stages Yoseikan Budo animés par maître Hiroo Mochizuki ou ses fils cf http://fr.wikipedia.org/wiki/Hiroo_Mochizuki), celui-ci a souhaité permettre à de nombreux pratiquants de découvrir comment l'art martial en général et le Yoseikan Budo en particuliers peut être UNE VOIE D'ACCOMPLISSEMENT PERSONNEL (cf son livre à commander dans la boutique en ligne sur ce site), et comment chaque style peut être un outil pour développer un certain nombre de qualités, si l'on tient compte dans le même temps de ces limites. En effet, la stratégie de chaque style peut être différente, comme en témoigne un extrait de son livre :

"Je ne ferai ici l’apanage d’aucun style d’art martial, car chacun a souvent une vue « étroite » des choses et relève de « partis-pris » : ils envisagent le plus souvent une série de réponses en fonction d’options d’apprentissage et de choix tactiques qu’ils ont privilégiés (combat à mi-distance,  corps à corps…), en écartant d’autres aspects. C’est le cas surtout des trois grandes familles d’arts martiaux « modernes » en France : le judo, l’aïkido et le karaté-do « shotokan », le plus représenté. Leurs fondateurs, initialement pratiquants de « ju-jutsu » pour la plupart ont écarté délibérément des pans entiers de techniques guerrières privilégiant celles qui correspondaient à leurs objectifs pédagogiques :

- c’est ainsi par exemple que pour répandre le judo dans les écoles comme système éducatif, Jigoro Kano a insisté sur les projections en éliminant peu à peu les atémis (percussions) jugés trop « dangereux » ;

- l’aïkido, de son côté, avec son fondateur Morihei Ueshiba, a supprimé toute idée de confrontation pour mettre l’accent sur une recherche plus « métaphysique » à travers les techniques de clés et contre clés;

- enfin le karaté « shotokan », créé par Gishin Funakoshi, art martial pourtant plus complet privilégiant les blocages et atémis, a réduit considérablement son bagage technique à quelques percussions sous l’effet de la compétition, en s’appuyant sur une mise en scène caricaturale, presque théâtrale (prenant le parti d’exagérer et de saccader les techniques les rendant plus lisibles à la fois pour les débutants et les spectateurs, et dans un contrôle permanent rendu aussi nécessaire pour ne pas blesser son adversaire) au détriment d’une approche véritablement réaliste du combat (où les réactions de son partenaire sont réellement induites par l’intention de le soumettre comme en boxe ou au judo).

En fonction de leur morphologie, certains maîtres ont également fait des choix stratégiques en mettant par exemple l’accent sur le renforcement musculaire, ou à l’extrême inverse, sur la rapidité, la souplesse. Certaines techniques ont ensuite été privilégiées correspondant aux qualités propres de chaque enseignant et de sa corpulence. Des facteurs externes ont pu aussi être parfois déterminants, surtout concernant le maniement des armes. C’est le cas par exemple, avec le sabre chinois ou japonais dont la forme et le poids différent, ce qui modifie considérablement son utilisation.

Je vous engage à élargir votre vision et ne renier aucun style en distinguant bien leurs points forts et leurs lacunes (ils en ont tous), principalement tactiques et stratégiques. Cela vous évitera de vous bercer d’illusions, de vous renforcer au lieu de vous fragiliser en prenant conscience des avantages et des inconvénients de votre propre style. "

Ainsi, chaque discipline est complémentaire et non antagoniste pour aguerrir le pratiquant dans une connaissance plus globale des arts martiaux en général. Hubert MAILLARD de la MORANDAIS veut résolument aider le pratiquant, quel que soit son style d'origine, à développer ses points forts comme minimiser ses lacunes, en le rendant plus clairvoyant face à n'importe quelle méthode d'arts martiaux. Aussi pour l'aider dans cette démarche, de nombreuses passerelles avec des stages de professeurs de différents horizons (rencontrés parfois à l'occasion de stages qu'il a particulièrement appréciés) seront également proposées pour ne pas enfermer le pratiquant dans un seul angle de vu et qu'il éprouve valablement ses connaissances dans des situations plus ou moins inhabituelles. Pour cela, le ju jitsu et le yoseikan budo seront, entre autres, des outils efficaces et parfaitement adaptés pour envisager toute sorte de situation et de stratégie permettant un grand éventail de réponses.

Objectifs

"sont organisées des conditions d’opposition pour solliciter nos ressources cognitives renforçant les notions d’autonomie, de prise de décision et de gestion face à l’adversité. La variété des partenaires dédramatise les différences individuelles, et les mises en situation proposées permettent d’apprendre à nous dépasser, notamment contre plus fort que soi, ou bien nous maîtriser face aux plus faibles."

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 "Cultiver l'esprit du Bu-do, dans les arts martiaux, c'est justement nourrir le projet de transcender le stade de l’opposition en remettant en avant les valeurs souveraines de respect, de tolérance pour faciliter nos rapports avec les autres, créer une meilleure cohésion avec notre environnement. Pour cela, nous devons d’abord développer une attention permettant de prendre chaque événement au sérieux, d'écouter notre corps, notre conscience pour faire les bons choix. Le Bu-do nous propose ainsi de nous débarrasser peu à peu de nos conditionnements (historiques, familiaux, éducatifs, culturels…) pour avoir un plus grand libre arbitre. À terme, en construisant un « moi » plus fort, nous pourrons l’offrir sans retenue, pour une existence harmonieuse et pacifiée.

Contrairement aux apparences, le but essentiel est bien de nous éduquer à la rencontre de l'autre.

En apprenant à mieux communiquer (étymologiquement vient du latin communicare qui signifie « mettre en commun » ; cum en latin veut dire « avec, ensemble » et municare, dérivé de munus « devoir, charge »), c'est-à-dire à mieux nous connecter aux autres en suivant un certain nombre d’obligations et de règles communes, nous serons capables de puiser chaque énergie, puis la restituer avec encore plus de force (en-co-urager), pour finalement augmenter nos chances communes de réussite (est-ce un hasard si « nikê » en grec correspondant aux deux dernières syllabes de « communiquer » veut dire « victoire »). Cherchons-nous encore vraiment à partager la victoire, à co-mmuniquer, comme on le fait avec un co-pain, dans le sens de partager le pain ? Prenons-nous vraiment le temps de découvrir l’autre, de tisser des liens, d’entrer en co-mmunion avec l’autre, malgré la nécessité d'aller vite et droit au but, exigence de plus en plus grande dans notre monde contemporain ? Il en va de notre survie de savoir, au contraire, partager nos ressources, nos compétences, et il est spécialement utile aujourd’hui de se réserver des temps particuliers pour échanger. En effet, si la radio, la télévision nous informent, c'est-à-dire, nous mettent seulement « en forme », ils nous rendent passifs, car les informations délivrées se succèdent trop rapidement sans nous laisser trop de temps pour réfléchir, revenir en arrière, comme nous pourrions le faire avec un livre, un article.

L'étude du Budo peut donc être un de ces moments privilégiés avec beaucoup d’autres bénéfices pour partager nos co-nnaissances (« naissances mutuelles ») et pas seulement à travers une discussion. Car communiquer, c'est aussi vivre avec, en nous obligeant à établir des règles de vie en commun qui soient satisfaisantes et respectent un espace de liberté pour chacun d’entre-nous, ce qui est un exercice bien plus difficile (car nous devons en outre adapter les règles en permanence en fonction de l’évolution de notre monde), que de « partager » simplement et de façon souvent désinvolte des événements, des sentiments à travers les réseaux sociaux, qui nous donnent seulement l’impression d’être « connectés » à de nombreux « amis »."

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"L'opposition dans les arts martiaux sert en fait à nous construire, en nous renvoyant une image réaliste de nous-mêmes, tout en nous aidant à comprendre l’autre et à maîtriser peu à peu les différentes facettes possibles de nos relations. "

"Par cette démarche, nous nourrissons singulièrement le projet impérieux de passer d’un affrontement complètement décousu, désordonné au départ, à une relation précise et soignée pour rendre nos échanges plus rigoureux. Il est intéressant d’observer que nos échanges souvent maladroits sont malheureusement le fruit de nombreux malentendus que nous n’osons pas explorer plus avant (avec autrui mais aussi avec nous-mêmes quand nos objectifs sont mal cernés, nos compétences mal évaluées et notre degré de motivation mal apprécié) que l’étude du combat peut parvenir à dissiper pour rendre nos rapports plus fluides et plus concordants."

 

extraits du livre de Hubert MAILLARD de la MORANDAIS "L'Art Martial une voie d'accomplissement personnel"

Philosophie

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« L’art martial nous aide progressivement à supprimer nos attaches. A travers l’exercice au combat, il nous permet d’embrasser les enjeux du vivant en demeurant curieux de tout. Il nous fait comprendre que trop s’attacher à la vie, c’est du même coup avoir peur de la perdre, et ne plus être disponible et relaxé pour affronter les événements qui nous font obstacle.

De la même façon, il nous fait comprendre qu’aimer, ne réside pas dans la recherche de nous attacher l’amour de l’autre, mais de considérer cet amour comme un cadeau à l’instant présent, et d’offrir le notre en retour, sans retenue. La peur de le perdre s’estompe alors, pour savourer chaque moment, tout en gardant conscience que rien n’est permanent.

Grâce à l’étude d’un art martial, en tant que Budo, la vie, en définitive, prend tout son sens, toute sa valeur, en nous permettant d’avancer avec confiance et discernement, en renforçant le lien entre nos ressources et nos désirs les plus profonds.»

 

extraits du livre de Hubert MAILLARD de la MORANDAIS "L'Art Martial une voie d'accomplissement personnel"

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Proverbes préférés

« Le hasard ne favorise que les esprits bien préparés ».

Pasteur

 

« La moindre chose contient un peu d’inconnu. Trouvons le ».

Guy De Maupassant

 

« La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent ».

Albert Camus

 

« Prends soin de tes pensées parce qu'elles deviendront des Mots.

Prends soin de tes mots parce qu'ils deviendront Actions.

Prends soin de tes actions parce qu'elles deviendront Habitudes.

Prends soin de tes habitudes parce qu'elles formeront ton Caractère.

Prends soin de ton caractère parce qu'il formera ton Destin,

et ton destin sera ta Vie. »

Le Dalaï Lama

 

« Ainsi va la vie : elle nous propose une version de l'existence sans point, ni virgule, c'est à nous de la ponctuer.... Et c'est cette ponctuation qui fera toute la différence. »

Dariosah

 

extraits du livre de Hubert MAILLARD de la MORANDAIS "L'Art Martial une voie d'accomplissement personnel"


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